1 novembre 2021

6:33 « Feary Tales For Strange Lullabies : The Dome »

6:33
« Feary Tales For Strange Lullabies : The Dome »
Cd promo 11 titres (53’16’’)
Rock Hybride Farfelu et Festif – France – disponible, sorti le 01.10.2021
WORMHOLEDEATH RECORDS / REPLICA PROMOTION
pochette 6:33 feary tales for strange lullabies the dome 2021photo 6:33 2021
Voici le quatrième album, intitulé « Feary Tales For Strange Lullabies : The Dome », des français de 6:33 (6 heures 33) annoncé dans un registre d’avant-garde expérimental métal. Pourquoi pas ? Mais une fois l’écoute terminée, je pense que cela ressemble plus à un rock hybride farfelu, incorporant des éléments électro, pop, disco et funk… Je tiens à souligner que l’ensemble reste cohérent et ça marche bien malgré cette fusion importante de styles et que l’on est toujours dans l’effet de surprise car on n’arrive pas à deviner de quel côté cela va aller.

Métal c’est discutable, vu que les touches sont tout de même très clairsemées malgré quelques gros riffs et à part vraiment le titre « Act like an animal » où cela est affirmé par moments, je pense que le terme n’est pas approprié ou alors si vous pensez absolument que c’est du métal et que vous restez sur votre position, à la rigueur nous pourrions dire que c’est du « bisounours metal » du fait que l’album sent à plein nez la joie de vivre et la fiesta…

Concernant le chant assuré par Rorschach et Bénédicte, il s’avère varié, d’une grande richesse et « tout-terrain » en fusionnant à la perfection avec les titres de l’opus et si vous écoutez bien, on pourra même percevoir quelques growls.
L’opus débute par « Wacky worms » qui dévoile des sonorités électro rappelant les jeux vidéo des années 80 avec un aspect prog complexe ensuite « Holy Golden Boner » avec l’apparition de cuivres, des riffs assez marqués et un bon swing entraînant.

Avec la longue intro « Prime focus », nous voilà atterris dans l’orchestration digne de WALT DISNEY. « Hot damn chicas » et « Flesh cemetery » seront dotés d’un côté très funky et l’électro pop sera plus présent sur « Release the He-Shes ».
Les titres électro pop rock disco à touches aériennes « Party Inc » et « Rabbit in a hat » nous feront penser, sur certains passages, à Andrew W.K, et particulièrement à l’album « I Get Wet » sorti en 2001.
On terminera par « Hangover » qui sera une montée très progressive dans l’ensemble avec une influence jazz.

Un opus curieux et intrigant à découvrir qui devient extrêmement attractif car il dégage une musique hyper joyeuse en développant un aspect stimulant qui finit par accrocher. On tombera sous le charme quel que soit le style musical que l’on écoute régulièrement.
MONKEYMETAL alias Troll / ODYMETAL / le 01.11.2021.

💂 English version of conclusion of the review :

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A curious and intriguing opus to discover that becomes extremely attractive because it releases a super happy music by developing a stimulating aspect that ends up hanging. We will fall under the spell whatever the musical style we listen to regularly.
MONKEYMETAL aka Troll / ODYMETAL / 01st November 2021.








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